Nouvelle année, nouvelles cartes membres du BPI.
Depuis l'élection du nouveau président Blas J. Imbroda à Valence, le BPI a beaucoup travaillé pour consolider et occuper l'espace que nous ne devons jamais perdre. Le travail, l'effort et la lutte de la profession juridique au monde pour la Justice pénale internationale, la défense et les valeurs et les principes sur lesquels elle est fondée, forment le combat pour atteindre à faire respecter les droits de l'homme.
Le Barreau Pénal International (B.P.I) constate avec gravité la montée en force de l'insécurité au Sahel en général et particulièrement au Mali.
Ces scènes de violences caractérisées par des tueries de masses parfois ciblées ne doivent pas restées impunies.
Ogossago, Sobane Da dans le delta central et biens d'autres crimes qui rappellent de tristes souvenirs commis ailleurs en sont l'illustration parfaite.
Le Barreau Pénal International adresse ses condoléances très attristées aux familles des disparues, au peuple Malien tout entier et exhorte le Gouvernement de la République du Mali, les Partenaires Internationaux du Mali sur place (forces nationales et internationales notamment) à mettre tout en oeuvre pour faire que les Auteurs, Co-auteurs et Complices de ces crimes de masses abominables soient recherchés arrêtés et conduits devant les juridictions compétentes, immédiatement ; car il faut se convaincre que le premier ennemi de la paix dans un pays c'est bien l'impunité.
Le Barreau de Barcelone en collaboration avec le BPI à organisé la conférence "Brésil: Etat d'exception et démocratie menacée", donnée par l'ex-présidente Mme Dilma Rousseff, modérée par le Secrétaire Général de l'ICB, Mme Erika Torregrossa et présentée par le président émérite du BPI, M. Luis del Castillo Aragón.
Hier, le 25 octobre, la Commission de Justice Pénale Internationale du Barreau de Barcelone a tenu, avec la collaboration de notre association, une conférence sur l'exercice du droit au Venezuela. L'événement a été présenté par notre ancien président émérite, M. Luis del Castillo Aragón, et modéré par notre Secrétaire Générale, Mme Erika Torregrossa et Mme Silvia Soler Huete de la Commission, et comprenait M. Carlos Prince Arellan, avocat du Venezuela et un appel de Luisa Ortega, ex-procureur général du Venezuela, exilée en Colombie.